L’ Afrique ne s’en sortira pas.

‘‘Les plus importantes firmes mondiales d’investissements ont le plus investit dans des startups africains avec des fondateurs Blancs’’. (The Guardian)


Facebook, Twitter, Instagram , TikToK ( tech companies) sont bien connues de la seine internationale. Ces dernières ont vu le jour grâce aux investissements faits en majeur partie par des américains. A Sillicon Valley une ville située en Californie, vous trouverez des entreprises influente et des personnes fortunées capable d’ investir dans vos idées.

Sommes nous capable créer une Sillicon Valley africaine?

En Afrique nous avons des jeunes brillants et créatives qui ont des solutions propre aux réalités auxquelles notre continent fait face. Malheureusement ces idées ne se matérialisent pas souvent, faute de manque de financements, de structures légales mis en place pour pousser ces projets de l’avant.

Certains pays d’ Afrique ont eu du mal à s’adapter au capitalisme et à son mode de fonctionnement. A titre de rappel le capitalisme est un système économique basée sur la possession privée des moyens de production et leur opération pour un profit (Dictionnaire Economique ). Durant la période coloniale, les colons n’avaient pas comme priorité le développement du capital humain africain. L’objectif premier était l’exploitation des ressources minières et son exportation. Ce phénomène a laisser des séquelles toujours présents dans nos échanges avec nos différents partenaires économiques. A l’ere actuelle, le savoir et la technologie sont des facteurs clés au développement interne et externe de tout pays.

Une étudiante travaillant sur l’ automatisation d’ une machine.

D’après The Guardian, huit des tops dix startups africains qui ont reçu le majeur financement, sont diriges par des occidentaux .Par conséquent ils sont au contrôle de la propriété intellectuelle et l’ évolution de ses entreprise dites “africaine”. Ce contrôle est du néocolonialisme déguisé . Durant des interviews avec le magazine The Guardian , de nombreux entrepreneurs africains ont partagé l’ humiliation, la discrimination et des traitement souvent raciste face à ces grands investisseurs etrangers. La plus part du temps ce grand du business n’ont pas comme priorité le bien être du pays dans lequel ils opèrent. Ils y sont a des fins personnelles.

Le Nigeria, Afrique du sud , Egypte, Kenya, Sénégal sont parmi les pays qui ont reçu le plus d’investissement.




Pour beaucoup de ses investisseurs étrangers, le développement du marché locale africain n’ est pas une priorité.

A 500 startups, la plus active des firmes d’ investissements dans le monde, un partenaire de la firme a dit “ nous cherchons des compagnies qui ont l’ ambition d’ être globale et en dehors de leur pays d’ origine” ( The Guardian). Ce commentaire soutient le fait que ces firmes recherchent des startups rentable à l’ international dans le but de garantir un retour sur investissement signifiant. L’ argent investit n’est pas pour le développement mais sa rentabilisation.

Interview de Namahlubi Nazo sur la télévision zambienne.

Namahlubi Nazo est une africaine qui a laisser son boulot pour poursuivre une formation en cosmétique avant de lancer son start-up. Trois ans après, elle cherche toujours des fonds pour continuer ses recherches et faire des essaies avant que son produit ne soit commercialisée. Cette histoire est l’ histoire de plusieurs africains inventeurs, entrepreneurs qui ont un savoir faire mais manquent de moyens pour concrétiser leur idees. L’ Afrique ne dispose que de peu d’options soit ces idées seront achetés ou voler par des investisseurs étrangers ou soit nous les protégerons par la création d’ un environnement propice pour l’ entrepreneur africain.

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Les clés pour bien s’ établir aux Etats-Unis en tant qu’ immigrants.